Quelque 2 500 entreprises qui emploient près de 4 700 personnes. L’artisanat joue un rôle essentiel dans le dynamisme économique du Centre Bretagne. Focus sur les métiers et les enjeux d’un secteur qui, ici dans le pays de Pontivy, et là sur le territoire de Loudéac, retrouve de belles couleurs. 

Des boulangers, des plombiers, des mécaniciens, des coiffeurs, des céramistes, des aides à domicile… Avec pas moins de 1 660 entreprises artisanales recensées au 1er janvier 2018 sur le pays de Pontivy, et 831 sur le territoire de Loudéac Communauté, l’artisanat forme un tissu dense d’activités en Centre Bretagne. Ici et là, le nombre de ces entreprises augmente même régulièrement chaque année, depuis cinq ans. L’effet d’un certain retour en grâce d’un secteur longtemps considéré comme une voie de garage… « La tendance est aussi liée au statut de micro-entrepreneur », s’accordent à dire par ailleurs Gwenola Vigouroux, responsable de l’antenne de la chambre de métiers et de l’artisanat (CMA) de Pontivy, et Jean-Pierre Philippe, responsable du service « Création reprise d’entreprise » de la CMA des Côtes d’Armor.

Des embauches dans le bâtiment

Sur les deux territoires, le bâtiment est le secteur plus dynamique : il représente 42,5 % des entreprises loudéaciennes, et 40 % des entreprises pontivyennes. Les « services », famille de métiers plutôt hétéroclite qui comprend aussi bien la coiffure que les garages ou les taxis, arrivent en deuxième position : 28 % sur Loudéac Communauté, 31 % sur le pays de Pontivy.

L’artisanat du Centre Bretagne est générateur d’emploi. On totalise 1 400 salariés sur la partie costarmoricaine (soit un effectif moyen de 1,7 salariés par entreprise), en majorité dans les métiers de l’alimentaire et des services ; 3 299 salariés sur la partie morbihannaise (soit un peu plus de deux salariés par entreprise), où le bâtiment est le plus gros employeur. Selon une récente note conjoncturelle de la chambre régionale de métiers et de l’artisanat (*), la reprise d’une certaine activité dans ce secteur se mesure notamment par de réelles perspectives d’embauche. Une tendance observée depuis peu au lycée professionnel du Blavet de Pontivy. Chaque semaine, l’établissement a « entre deux et trois contacts pour des offres d’emploi en CDD, avec promesse de CDI à la suite », confie ainsi Sébastien Ollivier, directeur délégué aux formations. 

Cette conjoncture favorable se décline aussi en création d’entreprises. 120 nouvelles entités ont vu le jour en 2017 sur le pays de Pontivy, dont 42 % dans le bâtiment (30 % dans les « services » et 14 % dans l’alimentaire et la production). Les « reprises » portent elles sur 20 entreprises sur le même territoire, 11 sur celui de Loudéac Communauté. « On « reprend » un peu plus en proportion sur la partie centre des Côtes d’Armor que sur l’ensemble du département, note Jean-Pierre Philippe. Le secteur est moins concurrentiel et l’opération peut alors paraître moins risquée », suppute le responsable de service de la CMA 22. 

En Centre Bretagne, comme ailleurs, la transmission d’entreprise constitue un réel enjeu. Sur le pays de Pontivy, par exemple, on recense 287 dirigeants de plus de 55 ans. « Ce sont 22,3 % des entreprises artisanales du secteur qui seront donc potentiellement à reprendre dans les prochaines années », analyse Gwenola Vigouroux. Préservation des emplois, d’un savoir-faire mais aussi du dynamisme de la vie locale en dépendent. « Sur des territoires ruraux comme les nôtres, l’artisanat joue un rôle essentiel dans le maintien des services de proximité », précise la conseillère économique pontivyenne. 

Anticiper la transmission

Savoir anticiper, telle est la clé d’une transmission réussie. « Au moins deux ans à l’avance », indique Jean-Pierre Philippe.
« Jusqu’à 5 ans »
, renchérit Gwenola Vigouroux. La principale difficulté repose dans l’identification d’un repreneur et sa préparation. « Si un salarié s’est positionné, cela induit de le faire monter progressivement en puissance au sein de l’entreprise. S’il faut s’orienter vers un repreneur extérieur, alors il convient de savoir ce que l’on vend (son fichier client ? son stock ?), d’activer les réseaux, de se faire accompagner par des experts comptables, un notaire…», avise Gwenola Vigouroux. Le repreneur idéal, lui, est du métier, en connaît les ficelles. Sinon, « il doit se former, acquérir de l’expérience en tant que salarié d’abord, pour être crédible vis-à-vis du cédant, du banquier, des assureurs…», conseille Jean-Pierre Philippe.

Évidemment, les CMA proposent leur propre accompagnement. Il commence par une mise en relation des cédants et des repreneurs (via le site www.entreprendre-artisanat.fr). Il se décline aussi sous la forme de conseils : sur les compétences techniques, en gestion, en recherche de financement… Un stage de préparation à l’installation est également obligatoire avant de pouvoir s’immatriculer. 

Reste ensuite à faire vivre son entreprise. Certes, les indicateurs sont au vert et le moral en hausse (25 % de chefs d’entreprise se disent optimistes, selon la note conjoncturelle de la chambre régionale de métiers et de l’artisanat). Mais, « l’activité peut être très différente d’une entreprise à l’autre, y compris dans un même secteur », tempère Gwénola Vigouroux. Rester en veille sur son marché, s’adapter à la demande, se former… telles sont les clés de la réussite. 

(*) Note basée sur les réponses d’un panel de 1 590 artisans à un questionnaire en ligne

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À Moustoir-Ac, le parc d’activités de Kervehel cherche artisans

Dix-sept lots sont à vendre sur le parc d’activités de Kervehel, à l’entrée sud du territoire de Centre Morbihan Communauté. Réservé aux artisans, ce parc ne manque pas d’atouts pour les attirer, à commencer par un accès rapide au sud du département, la zone principale de chalandise.

Un lot vendu, sur 18, en quatre ans. Implanté à l’ouest du centre-bourg de Moustoir-Ac et inauguré en 2014, le parc d’activités de Kervehel qui devait venir renforcer la vocation commerciale et artisanale dévolue au secteur sud de Centre Morbihan Communauté (CMC), n’a pas trouvé son public… La faute à la crise qui a quelque peu freiné les candidats à une installation. « La reprise qui s’amorce pourrait susciter de nouveaux projets d’investissement chez les artisans », espère Grégoire Super, vice-président de CMC, chargé du développement économique. 

Un label régional Qualiparc

Dédié exclusivement aux activités artisanales, et visant plus particulièrement encore le secteur du bâtiment, le parc de Kervehel ne manque pas d’atouts pour les attirer. Sa situation géographique d’abord, à proximité de l’axe Vannes-Locminé, également surnommé « autoroute des artisans », et auquel on accède directement par un échangeur. « On le sait, les artisans de notre territoire travaillent majoritairement dans la partie sud du département. Avec la quatre-voies aujourd’hui prolongée jusqu’a Colpo, Vannes ne se situe plus, depuis ce parc, qu’à un quart d’heure de route », observe Grégoire Super. Le découpage, en espalier, de la zone offre par ailleurs une belle visibilité à chaque lot et donc à toute enseigne, depuis une route fréquentée par quelque 17 000 véhicules chaque jour. Enfin, le parc de Kervehel répond aux critères paysagers et environnementaux de l’ancien label régional Qualiparc. 

17,50 € le m²

Des prestations qui expliquent le prix de vente du terrain : 17,50 € HT/m². Les dix-sept parcelles qui restent à acquérir s’étendent sur 2 000 m² en moyenne, jusqu’à 6 000 m² pour la plus grande. Elles peuvent, à l’image du lot déjà vendu, être partagées par plusieurs artisans. 

Les élus de Centre Morbihan Communauté se donnent encore un peu de temps pour voir se développer ce parc artisanal. « Situé à l’entrée sud de notre territoire, c’est important qu’il en soit aussi une vitrine de son dynamisme », estime Grégoire Super. 

Renseignements : Service développement économique de Centre Morbihan Communauté, au 02 97 44 22 58.

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Maison du forgeron à Saint-Thélo : apprendre à battre le fer

Le métier de serrurier-ferronnier peine à recruter. Pourtant la profession offre de vrais débouchés. Dès septembre 2018, au sein de la Maison du forgeron, tout sera mis en œuvre pour susciter des vocations.

« C’est en forgeant qu’on devient forgeron ! » Cette expression là, tout le monde la connait… un peu moins le métier de serrurier-ferronnier. À Saint-Thélo, dans les Côtes d’Armor, la future Maison du forgeron promet de redonner ses lettres de noblesse à la profession. 

Derrière ce projet, un amoureux du métal, Rémy Crézé. Son entreprise, éponyme, implantée en Ille-et-Vilaine rayonne par delà les frontières européennes. « Si on m’avait dit qu’en devenant serrurier j’irais travailler au Caire ou à Tokyo, moi qui suis originaire du Fœil et n’avait jamais pris le train…»

L’entrepreneur breton de 63 ans a bien roulé sa bosse. « En travaillant le métal on peut faire de l’agencement, de la ferronnerie d’art, de la restauration, de la métallerie de bâtiment, explique-t-il. C’est fascinant !
Pourtant on peine à trouver de la main d’œuvre, et il en faut. » 

À Saint-Thélo, la Maison du forgeron se voudra ainsi à la fois un lieu de mémoire, de démonstration et de transmission du savoir-faire. Dans une ancienne fermette et une maison de tisserands du XVIIe siècle, sauvées de la ruine, elle abritera d’un côté un atelier ouvert à la visite, dans laquelle un serrurier métallier travaillera à temps plein, et de l’autre une salle dédiée aux formations. 

Un centre de mémoire 

Les jeunes aspirants forgeron seront triés sur le volet. « On ne souhaite pas d’échec dans l’orientation, cela doit être un vrai choix, juge Rémy Crézé. On leur inculquera les bases élémentaires. » Le cursus d’initiation durera trois mois, en alternance avec cinq semaines d’école. 

L’objectif est aussi de former des seconds d’entreprise. Un relais important surtout dans les petites structures : à l’ère d’internet, les échanges sont plus rapides et nécessitent des réponses dans de courts délais. « Nos entreprises artisanales doivent se préparer à l’évolution qu’apporte le numérique dans nos métiers », entrevoit l’entrepreneur breton.

La Maison du forgeron accueillera un centre de mémoire, nourrie de témoignages. « Le monde artisanal a subi une révolution au début du XXe siècle, raconte le chef d’entreprise. Le forgeron est devenu mécano, le charron c’est notre carrossier aujourd’hui. On veut garder une trace de cette époque avec des récits vivants. »

Enfin, dernière idée pour rendre ce lieu attractif et unique, faire venir des artistes. Ils pratiqueront leur art à travers le métal et seront exposés.

Visites, formations, et résidences d’artistes… autant d’activités dont la soudure sera assurée par un animateur. L’ouverture de la Maison du forgeron est prévue à la rentrée prochaine. 

Pratique : La Maison du Forgeron, 2, rue de la Fontaine, 22460 Saint-Thélo

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 Verrerie de Guerlédan : l’art de jouer avec le verre

Filière méconnue de l’artisanat, les métiers d’art s’articulent autour de 19 secteurs. Dont celui du  verre que Sue Mac Gillivray travaille dans son atelier-boutique de Caurel. 

« L’endroit m’a plu, en particulier pour l’espace qu’il offrait », raconte Sue Mac Gillivray. En l’occurrence, c’est dans l’ancienne boulangerie-épicerie de Caurel que cette artiste verrier, originaire du Devon en Angleterre, a installé son atelier-boutique, la Verrerie de Guerlédan. Le fournil a été conservé et sert aujourd’hui d’écrin aux œuvres de la sympathique nouvelle propriétaire. Ici, une activité de bouche a laissé place à un métier d’art. Une autre filière de l’artisanat moins connu mais qui comprend 19 secteurs tels le cuir, le textile, l’art floral ou encore le verre.

Installée depuis quatre ans en Centre Bretagne, Sue Mac Gillivray s’est pris de passion pour ce matériau lors de ses études.
« J’aime toutes ses caractéristiques. Sa transparence, ses couleurs… les reflets qu’il propose quand il attrape la lumière. Le verre est un matériau toujours surprenant et en même temps très maléable », s’enthousiasme-t-elle.

Titulaire d’une licence en dessin en verre à trois dimensions et d’une maîtrise en verre, Sue s’est d’abord plus particulièrement spécialisée en soufflage auprès de Niel Wilkin, un artiste de référence, ou encore au sein de la Dartington Crystal, prestigieuse manufacture basée dans le Devon. Dans son atelier de Caurel, elle s’implique aujourd’hui davantage dans les techniques de fusion, de moulure par thermoformage et de coulage, et teste régulièrement de nouveaux effets. « Si à la sortie du four, on obtient souvent ce qu’on voulait, on a aussi parfois de très bonnes surprises », note celle qui aime jouer avec son matériau de prédilection.

Du dessin à la cuisson

Dessinatrice, Sue conçoit elle-même les objets qu’elle fabrique : des bijoux, des sous-verre, des saladiers, des bougeoirs, des porte-cuillères, savons ou couteaux, des attrape-lumière à suspendre aux fenêtres ou encore des « tableaux feuilles ».
« J’ai trop d’idées et pas assez de temps pour les accomplir »
, regrette-t-elle.

Quand elle ne crée pas, Sue aime transmettre son art à la faveur de cours et de stages qu’elle anime dans son atelier.
« Je propose toujours de commencer par la fabrication d’un sous-verre, c’est une bonne façon d’apprendre les techniques de découpe et de cuisson », assure l’artisan d’art de la Verrerie de Guerlédan. 

Pratique : La boutique de la Verrerie de Guerlédan est ouverte du mardi au samedi, de 10 h à 17 h 30. Cours le mardi après-midi, sur réservation : 3 h 30 ; 37 € par personne ; limité à 5 places. Matériaux et outils sont fournis. 

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Apprentissage : l’éco-construction, un marché porteur ?

La construction en matériaux bio-sourcés se développe mais manque de main d’œuvre qualifiée. Une formation du Greta à Pontivy permet d’explorer différents savoir-faire spécifique.

C’est une toute nouvelle formation qui s’est ouverte à la rentrée dernière au Greta de Pontivy. Dans un atelier du lycée du Blavet, onze personnes en reconversion travaillent le bois. Pendant cinq mois ils suivent une formation pré-qualifiante dans l’intervention sur le patrimoine bâti dans une démarche d’éco-construction.

Aujourd’hui, le formateur est charpentier, la semaine dernière c’était une maçonne. Et les prochains à venir sont électricien et plombier-chauffagiste. Au programme du jour une ferme de charpente en chêne et châtaigner. La taille se réalise directement dans les troncs d’arbre.

Cédric a 36 ans, il habite Cléguerec et s’était destiné à la profession d’opticien. Finalement le sort en a décidé autrement. Déjà sensibilisé aux matériaux bio-sourcés, le jeune homme préfère la charpente. « J’attends de découvrir d’autres métiers, notamment autour de la plomberie », confie-t-il. 

Faire le choix du local

« Pour l’éco-construction il faut un véritable savoir-faire et choisir du local », indique l’artisan formateur. Il donne l’exemple de la fibre de bois utilisée comme isolant. Ce bois vient de Suisse et d’Autriche où il est cuit à haute température pour être collé. Il est ensuite transporté puis découpé pour répondre à des mesures, ce qui donne des chutes. « Alors qu’on peut prendre de la paille chez le paysan du coin. Avec de la terre on peut faire de la bauge, et Loudéac c’est justement un pays de bauge. » 

Avec des temps de formation au contact d’artisans, des stages en entreprises et des chantiers comme la réhabilitation d’un four à pain à Plumelin, le cursus permet d’aborder quelques uns des métiers qui interviennent dans l’éco-construction. 

Une formule appréciée par Bénédicte à la recherche d’un métier plaisir. À 40 ans cette ancienne élagueuse grimpeuse ne se voit pas travailler loin des arbres. « Pourquoi pas la menuiserie décorative ? Après la découverte, je pourrais aller vers une vraie formation professionnalisante. »

Pratique : Greta Bretagne Pontivy, 43, rue Charles Gounod à Pontivy. 02 97 25 37 17, greta.apontivy@ac-rennes.fr

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Pontivy Bike : ils réparent et… ça repart !

Isabelle et Philippe Daniel, gérants du magasin Pontivy Bike, font partie des 350 « Répar’acteurs » bretons. Leur crédo : prolonger au maximum la durée de vie des deux-roues.

La réparation, c’est leur rayon ! Avec ceux du soleil qui pointent, l’activité s’intensifie même sérieusement dans l’atelier de Pontivy Bike, magasin spécialisé dans le vélo de tous types.

Isabelle et Philippe Daniel, les gérants, figurent parmi les 350 « Répar’acteurs » bretons. Impulsé en 2015 par la chambre régionale des métiers et de l’artisanat de Bretagne, ce label regroupe les artisans et commerçants qui s’engagent de manière prioritaire dans la réparation des objets, avant la vente de produits neufs. En filigrane, l’initiative vise bel à bien à réduire les déchets. 

Chez Pontivy Bike, on n’a pas attendu le label pour s’y mettre. « Le magasin a 30 ans et cela fait partie depuis toujours de sa philosophie », soulignent Isabelle et Philippe Daniel, qui l’ont repris il y a sept ans. 

De la crevaison à la révision complète

Dans l’atelier, leur fils Aurélien vérifie l’axe de la roue avant d’un VTT. « Un mauvais réglage peut entraîner une détérioration du vélo »,
explique le jeune homme. En période normale, une cinquantaine de vélos sont réparés chaque semaine chez Pontivy Bike. Bien plus avec les beaux jours, qui voient affluer les cyclistes sur le chemin de halage du Blavet. L’activité « réparation » représente ainsi un tiers du chiffre d’affaires du magasin et emploie trois personnes à temps plein en forte période. « Nous avons deux types de clientèle. Une de passage, qui vient surtout pour des crevaisons ou des problèmes de transmission. Pour nos clients locaux, nous assurons la révision complète du vélo », indique Philippe qui intervient sur toutes les marques et pas seulement sur les vélos vendus dans son magasin. « 50 % des cycles que nous réparons ont été achetés ailleurs. »

À défaut des heures passées, ce qui compte pour les gérants de Pontivy Bike, c’est avant tout la passion. Chez les Daniel, tout le monde roule pour le vélo. Électrique pour Isabelle, le dimanche pour Philippe, en compétition élite amateur pour Aurélien. Laurent, leur salarié, est lui aussi un ancien compétiteur et aujourd’hui adepte du vélo-couché. « Pour bien réparer, il faut pratiquer. C’est sur le terrain qu’on apprend le mieux ! »

Les autres « Répar’acteurs » du Centre Bretagne : 

Informatique et bureautique : Breizh Informatique à Loudéac ; PC Futé à Saint-Gérand ; Noyal Info Elec à Noyal-Pontivy ; Informatique express à Radenac ; Couture et retouche :
Babouchka design à Bréhan ; La Valse des aiguilles à Réguiny ; outillage et matériel professionnel : établissements Le Goff à Hémonstoir ; instruments de musique : Celtique Électronique à Noyal-Pontivy.

Pratique : 1, rue Clémentel à Pontivy.

Ouvert de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h (18 h 30 le samedi). Fermé le lundi matin et le dimanche toute la journée. 

www.pontivy-bike.fr